Une multidimension, c’est plus fort pour un enfant que la réalité concrète.

Un exemple: Papa peut dire à son fils avec un semblant de joie : « Oui on va aller jouer dans 10 minutes ensemble… » mais l’enfant a des mémoires en lui où le papa lui a déjà dit cela plus de 50 fois dans la dernière année et il n’était jamais venu jouer avec lui. Alors, l’enfant réagit, redemande, insiste, devient hyperactif pour y aller maintenant par peur de perdre, à cause de mémoires de manque… et là il se fait disputer, le parent le met en punition dans sa chambre.

Qui avait raison, l’enfant ou le parent ?

À ce moment, l’enfant n’avait pas un bon comportement parce qu’il percevait dans la tonalité et le langage du corps du parent, qu’il ne viendrait pas jouer… que le parent lui mentait en réalité…

Saviez-vous que même bien des disputes de couple sont basés sur des mémoires, sur des intentions derrières les mots, derrières les actions… pensez-y!

Des cours de multidimensions, c’est comme un jeu vidéo pour les enfants… ils adorent cliquer sur le dossier, qui ouvre le sous-dossier pour trouver, le prochain dossier, pour enfin trouver la clé .

Pour un jeune à haut potentiel et ayant un quotient émotionnel très ouvert… lire un texte sans comprendre avec son coeur, sans voyager avec sa conscience, n’a aucun intérêt pour lui… il faut le mettre dans un contexte dimensionnel et émotif… lui expliquer ce qui se passe dans le monde … que la vie est avant tout une aventure de cœur et d’âme… il faut lui expliquer la souffrance, la joie … lui raconter des histoires des plus fantastiques, lui parler en métaphores, en codes de conscience…

Oui, vous savez, les questions qui n’en finissent plus… les enfants veulent toujours aller au bout de tout… mais aujourd’hui, plus que jamais, partout dans le monde, les enfants, les jeunes veulent aller aussi loin que possible… plus loin… ils veulent aller au bout d’une idée et au-delà si possible… Pourquoi ? Parce qu’à travers un sujet qui les intéresse, ils désirent expérimenter des idées, des émotions, des actions… ils veulent connaître et comprendre la Vie en eux et autour d’eux ! C’est ça les nouveaux enfants, les nouvelles générations et nous avons les clés pour leur enseigner avec nos programmes d’avant-garde.

Écouter une musique et faire discerner les ambiances… est-ce triste ou joyeux… est-ce agréable ou agressif… les instruments de musique utilisés créent des états d’âmes… saviez-vous qu’un violon ne crée pas le même effet qu’une guitare ni une harpe… ni un saxophone, duduk ou dijeridoo… ni une trompette et les tambours, les percussions, etc.? Saviez-vous que les notes, les ambiances, se marient, se fusionnent pour créer des émotions merveilleuses ou malheureuses, des forces actives ou agressives… Ce genre d’analyse prédictive se comprend parfois seulement vers l’âge de 26-30 ans et parfois pas du tout. Demandez à un enfant de 6 ans si une musique heavy metal agressive ou du blues plaintif et nostalique est positive ou négative comme énergie… il ne saura pas vous répondre si on ne lui a pas enseigné… Aidez-nous à apprendre aux enfants d’écouter avec discernement…. de choisir avec sagesse…

Les symboles s’interconnectent autant positivement que négativement et créent ainsi des états d’âmes, des états de conscience multiples qui créent les bonheurs ou les dysfonctionnement de la conscience et forment des réseaux et systèmes interactifs parce qu’ils sont des représentations de valeurs et principes qui peuvent être représentés en tant qu’image ou métaphore. De façon générale, la valeur positive ou négative d’un symbole dépend du contexte dans lequel il apparait ainsi que de la relation qu’il a avec les autres éléments présents. Les aspects positifs d’un symbole sont définis par les critères de qualités et vertus, comme la beauté, l’ordre, l’harmonie, etc. alors que les aspects négatifs sont la représentation de distorsions et faiblesses, comme la disharmonie, la désorganisation, la violence, etc. L’enfant a besoin d’étudier le code source des objets et des ambiances pour faire ses choix dans la vie.